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Coutellerie

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La coutellerie custom

Avant d'exercer un métier à temps plein de taillandier, Jeremy a commencé le métier de forgeron via la spécificité de la coutellerie. 

Il savait que pour exercer le métier de taillandier (dont la coutellerie est une des branches) il lui fallait quelques années d’entraînement afin de pouvoir se lancer dans la forge de hache et autres outils complexes.

Il a ainsi étudié et pratiqué différentes techniques de forge pour la fabrication de couteau : acier damas (feuilletage de deux aciers différents) et acier san-maï technique japonaise appelée aussi acier sandwich en France (soudure de 3 aciers différents au feu), sont deux techniques complexes que pratique notamment Jeremy.

La spécialité de l’atelier LET

Couteau Le Trièvois

En 2017, Jeremy lance avec Denis Hocquet sont partenaire de forge de l’époque, un couteau en série au nom du territoire sur lequel ils habitent : le Trièves. Ainsi est né le Trièvois.

Sa création  a conduit différents acteurs du territoire à la création de ce couteau. Un projet de souscription à été mis en circulation afin qu'il puisse impliquer directement ces personnes dans la dynamique d'un couteau à l'image de la région.

Jeremy et Denis ont crée un partenariat avec un prestataire du bassin Thiernois capitale du couteau. Celui-ci opère la découpe des lames et du kit de montage avec le choix de la forme et du type d’acier finement choisit par Jeremy et Denis. Le couteau est par la suite intégralement monté à l’atelier avec le choix des bois opéré par Jeremy. Cette technique de découpe de la lame permet de proposer un couteau à mois de 100€ tout en ayant travaillé sur le choix de l’acier et du montagne gage de qualité du produit finit.

Pratique, bonne mise en main, et pliant (mécanisme de verrouillage par clan plat), ce couteau se veut être un couteau de poche polyvalent. 

Les trois trous à l’arrière du couteau sont une façon de rendre un hommage aux 3 monts du Trièves : le Mont-Aiguille, l’Obiou et le Grand-Ferrand. 

 

Le Trièvois est décliné en 2 Aciers différents :

 
Le 90mcv8 (acier carbone) Un acier faiblement allié à base de 0,9 carbone /chrome /manganèse, vanadium provenant des acieries bohler.

L'avantage de cet acier est la finesse de sa cristallisation qui offre un pouvoir inégalable. La manganèse améliore le pouvoir de trempe tandis que le chrome a une action durcissante qui permet de garder le tranchant très longtemps tout en gardant une facilité au niveau de l'affûtage.

 

Le 14c28N (acier inoxydable) Un acier suédois provenant d'une des meilleures aciéries du monde Sandvick. Cet acier inox à base d'azote, a la particularité de garder son affûtage longtemps et l'ajout d'azote permet d'avoir un détachement du grain beaucoup plus facilement qu'avec autre acier inox. En définition, cet acier garde son tranchant longtemps et son affûtage est facile contrairement à d'autres aciers inoxydables.

 

Des séries originales naissent parfois à la forge avec des Trièvois à la lame damassée ou lame sandwich.

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lame san maï / acier sandwich :

Le processus de fabrication de l'acier San Mai résulte un ensemble unique d'attributs que les autres variétés d'acier n'ont pas. Chaque lame san maï est unique !

Ce procédé venant tout droit du japon est connu pour ses niveaux incroyables de durabilité. 

Son nom, traduit du japonais original, signifie grossièrement "trois couches", ce qui est une description très appropriée de la composition de ces lames. La composition de la lame est assez simple : le noyau central de la lame (la partie qui devient le tranchant) est fait d'un acier plus dur (acier carbone), tandis que les deux tranchants extérieurs sont faits d'un acier plus doux et plus souple  (acier inoxydable, acier puddelé…)

Jeremy est un adepte de cette méthode, plus que pour le damas. En effet, le san maï permet d’obtenir une lame avec de belles lignes uniques(différence entre les aciers) et des caracteristiques mecanique plus interessantes  .

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